Bande-Annonce
Revue de presse
Ces allers-retours d’un régime visuel à l’autre compliquent la situation figurative induite par l’histoire de ce couple, somme toute anecdotique, et donnent à Grand Tour une touffeur rare au cinéma. Y apparaît, vers la fin, un très beau personnage, Ngoc (Lang-Khê Tran), domestique dans une maison d’un riche propriétaire, qui ouvre son monde à Molly. À son contact, le film confirme ce que le spectateur sentait depuis le départ : l’essentiel, ici, est dans les à-côtés.
Une insolite épopée romantique.
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